• La vénerie ou chasse à courre (anciennement « chasse à courre, à cor et à cri ») est un mode de chasse ancestral qui  consiste à poursuivre un animal sauvage avec une meute de chiens jusqu’à sa prise éventuelle.
    La chasse du cerf, figure de proue de la vènerie française, est plus connue du grand public étant donné son caractère spectaculaire. Elle est, pour cette raison, la plus suivie et attire un monde important de suiveurs, de cavaliers, de cyclistes et piétons qui se réunissent en clubs de supporters de l'équipage.
    Ce mode de chasse sélectif assure de façon naturelle le maintien de populations de grands cervidés, gardant leurs qualités originelles de vigueur et de ruse, qui seules ont permis à l'espèce de subsister pendant des millénaires. Sa pratique est un art nécessitant des équipages importants découplant dans des territoires étendus.
    C'est vers 1500 avant J.C. que les chiens courants font leur première apparition : des représentations égyptiennes montrent déjà des chasses à courre à la gazelle et au lièvre. Au moyen âge, les Celtes et les Normands furent les premiers à pratiquer ce mode de chasse à cheval et sont en quelque sorte à l'origine de la vènerie. Plus proches de nous , les rois de France sont à l'origine de son éthique, de ses codes, de ses valeurs et de sa culture. Aujourd'hui, la vènerie est plus répandue que jamais : 450 équipages et presque 17 000 chiens chassent en France dans 69 départements.
    La trompe de chasse est indissociable de la vènerie. Elle lui doit son origine, sa signification et son développement. Les premières fanfares de chasse remontent à 1723 date à laquelle le marquis de Dampierre écrivit les premières des 2 000 fanfares qui constituent aujourd'hui un patrimoine musical exceptionnel.


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  • Sous l'égide de "FFRandonnée", une randonnée insolite à travers les vignes de Belleville à Montmartre, le jeudi 20 septembre 2007.
    In Vino veritas dit un proverbe latin ! Ce n'est pas certain, mais ce qui l'est plus, c'est que ce sont les Romains qui ont implanté la vigne à Paris. Bon, les Gaulois pas en reste, ont inventé, eux, les barriques, et, sous couvet d'un autre proverbe ; Qui bon vin boit, Dieu voit.
    Les abbesses de Montmartres l'ont favorisé et Poulbot l'a ressuscité. Si les vignes et les références au vin à Paris ont été à l'honneur de cette Panamée, du clairet au piccolo, beaucoup d'autres passages ont mérité au moins un accessit, la Butte Bergeyre, le pont de Crimée, la rotonde de Claude-Nicolas Ledoux, sans oublier les escaliers de la Butte.
    Ouf, j'ai de grosses ampoules, mais recommencerai avec plaisir.
    Pour en savoir plus : randopaname@wanadoo.fr, www.rando-paris.org





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  • Si vous avez des idées pour mon Blog
    n'hésitez pas à me laisser des commentaires.
    Merci et à bientot

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